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fonctionnairesLes différentes voies d'accès à la Fonction Publique de l'État (FPE) n'ont pas permis de faire le plein des recrutements possibles en 2023.

Pour l'UNSA Fonction Publique, il faut agir sur le déficit d'attractivité installé depuis une dizaine d'années, notamment en augmentant les rémunérations.

 

En 2023, la FPE a connu une hausse des postes offerts aux différentes voies d'accès externe (concours, recrutement sur titre ou hors concours), principalement sur les périmètres des ministères de la justice et de l’intérieur. 45 900 postes ont été ouverts en 2023, contre 40 300 en 2022, soit 5 600 postes de plus. La part des recrutements sans concours a doublé, passant de 3% à 6% des postes offerts, soit 2700 postes (contre 1300 en 2022), principalement pour des adjoints administratifs. 

Le nombre de places non pourvues reste élevé et la sélectivité des concours continue de baisser.

11% des postes sont restés non pourvus (environ 5200), un taux en baisse de trois points par rapport à 2022 mais toujours supérieur à la période 2017-2021 (où il ne dépassait pas 7%).

La situation est particulièrement tendue pour certains concours. Par exemple, 24% des postes ouverts au ministère de la Justice n’ont pas trouvé preneur. Plus d’un tiers des places de surveillant pénitentiaire sont restées vacantes. En catégorie C, la part des postes non pourvus atteint 18%, y compris pour les recrutements sans concours.

La sélectivité des concours poursuit sa baisse, avec 4,7 candidats présents pour un admis en 2023 (contre 12,4 en 2011). Sur 355 400 candidats inscrits, seuls 181 900, soit un sur deux, se sont présentés aux épreuves. Les concours de catégorie A restent les moins sélectifs (4,3 présents pour un admis), tandis que les concours de catégorie C affichent 5,3 présents pour un admis.

La FPE peine toujours à attirer et à recruter suffisamment de candidats, même en augmentant les recrutements sans concours. Les besoins de personnels vont augmenter dans la décennie à venir, en lien avec les départs en retraite. Le rythme du vieillissement des agents de l’État s’accélère depuis 2018 plus vite que celui des deux autres versants. La part des agents de plus de 60 ans représente 22 % des agents de plus de 50 ans (soit 33 %) contre 20 % dans les autres versants. La part des plus de 60 ans augmente beaucoup plus rapidement que la part des 50 à 60 ans.

Le renforcement de l’attractivité des métiers publics est nécessaire. Pour l'améliorer, l'UNSA Fonction Publique estime que les conditions de travail, la qualité de vie au travail et surtout les rémunérations doivent être à la hauteur de l'engagement, de l'implication et de la formation des agents.

 

En savoir plus :  Statistiques DGAFP 2023

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logement fpIl aura fallu près d'un an pour que le gouvernement se penche à nouveau sur la problématique du logement des agents publics et réunisse un groupe de travail sur le sujet. 

L'UNSA Fonction Publique a déploré le retard pris, encore une fois, sur ce dossier.

Ce groupe de travail relatif au logement des agents publics n'avait pas été réuni depuis près d'un an. Cette thématique est pourtant au cœur des préoccupations de nombreux agents, quel que soit le versant (hospitalier, territorial ou État). Pour l'UNSA Fonction Publique, ce groupe de travail marque la reprise des travaux.

Un pas en arrière

Un directeur de projet "Logement des agents publics" est nommé depuis mi-mai 2025  à la DGAFP. Il reprend les travaux entrepris par la mission de préfiguration de la DILOAP (délégation interministérielle au logement des agents publics), laquelle ne verra pas le jour. Sa mission sera essentiellement un travail de coordination. Il sera seul sur cette mission (la DILOAP devait compter sept agents). 

L'UNSA Fonction Publique regrette le peu de moyens humains attribués à cette mission, eu égard à l'importance de ce dossier.

Du sur-place

Un portail "Logement des agents publics" existe depuis mi-décembre 2024. Il a pour objectif de donner de l'information aux agents et aux employeurs publics. Il n'ouvre que sur peu d'offres. Les agents en quête de solutions de logement ne les y trouveront pas. La déception créée risque de mener à une désaffection de cette plate-forme.

L'UNSA Fonction Publique a regretté le peu de moyens humains consacrés à l'enrichissement de ce portail. Elle a souligné le peu de visibilité pour les versants hospitalier et territorial. Elle a demandé qu'une évaluation de l'efficience de ce portail soit menée à travers des enquêtes de satisfaction.

Un pas en avant

A la suite de son rapport consacré au logement des agents publics, le député David Amiel a déposé une proposition de loi qui est débattue à l'Assemblée nationale.

L'UNSA Fonction Publique a constaté que cette proposition de loi est la reprise des propositions du rapport les moins coûteuses.Cette proposition de loi comprend notamment :

  • la mise en œuvre d'une clause de fonction permettant aux agents occupant certaines fonctions d’accéder à un logement social, tant qu'ils occupent cette fonction, définie par leur employeur,
  • l'augmentation de l’offre de logements sociaux à destination des agents publics en permettant à une administration d’acquérir davantage de droits de réservation en cas d’apport de terrain par cette administration.

 

L'UNSA Fonction Publique aurait préféré un projet de loi issu du gouvernement, intégré dans une politique de logement et ouverte au dialogue social. Elle demande qu'une structure "Action logement des agents publics", similaire à "Action logement" pour les salariés du privé soit mise en place, pilotant la politique de logement des agents publics.

L’UNSA Fonction Publique rappelle que le logement est une des clés pour redonner de l’attractivité dans les trois versants de la fonction publique : État, hospitalier et territorial. Le logement est une solution de stabilité de l’agent, dans le cadre d’un équilibre vie professionnelle vie personnelle. Mais cela ne peut se faire que dans le cadre d’un dialogue social exigeant et constant.

 

GT logement des agents publics 16 mai 2025

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GrossesseLes organisations syndicales CGT, FO, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires, CFE-CGC et FA-FP de la Fonction Publique adressent une lettre ouverte au Premier ministre, au ministre de la Fonction Publique et à la ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes.

 

 

Nos organisations syndicales dénoncent solennellement une mesure discriminatoire d’une gravité inacceptable à l’encontre des femmes en situation de grossesse  exerçant dans la fonction publique. À compter du 1er mars 2025, vos choix politiques impliquent que les femmes en situation de grossesse placées en congé maladie ordinaire – hors congé pour grossesse pathologique ou congé maternité – subiront une perte de rémunération de 10 % dès le premier jour d’arrêt. Ainsi, une femme dont la grossesse est déclarée mais qui serait contrainte de s’arrêter quelques jours sur avis de son médecin verra sa rémunération amputée.

Ce choix politique constitue une discrimination sexiste manifeste et une attaque contre les droits des femmes et leurs conditions matérielles de vie. Il renvoie à une époque que nous pensions révolue où les droits des travailleuses étaient suspendus à leur capacité à rester « productives » malgré les difficultés physiques liées à la maternité.

Est-ce ainsi que votre gouvernement entend défendre les droits des femmes ?

La baisse de la rémunération dès le deuxième jour d’arrêt maladie rend coupable tous les agents et agentes d’être malades : elle est intrinsèquement injuste et nous continuons de la dénoncer. Mais, au XXIe siècle, rien ne peut justifier qu’un gouvernement prétendument attaché à l’égalité entre les femmes et les hommes puisse faire peser sur les agentes enceintes une sanction financière injuste sans tenir compte des réalités médicales, sociales ou professionnelles liés à leur grossesse. Cette décision est d’autant plus scandaleuse qu’elle touche un secteur, la fonction publique, où les inégalités salariales, les retards de promotion, les carrières hachées, les temps partiels imposés et la précarité contractuelle sont structurellement présentes. Vous ajoutez à ces inégalités une violence économique supplémentaire.

Et pour rappel, en 2018, le Parlement avait corrigé par amendement la dimension sexiste de l’instauration du jour de carence en le supprimant pour les femmes enceintes, montrant sa capacité à entendre les alertes et revendications, dont celles portées par nos organisations syndicales. 

Nous exigeons :

  • le retrait immédiat de la baisse de la rémunération des jours d’arrêt maladie, injuste pour l’ensemble des agent⋅es de la fonction publique ;
  • la garantie pleine et entière du maintien de salaire pour toute femme enceinte placée en congé maladie ordinaire sur avis médical quelle qu’en soit la nature ;
  • des politiques de santé au travail dans la fonction publique qui prennent réellement en compte la santé globale des femmes au travail mais aussi les parcours de maternité et le retour à l’emploi.

Pour nos organisations syndicales, sanctionner les femmes parce qu’elles sont enceintes ne relève pas d’une politique liée aux contraintes budgétaires : c’est une régression, c’est une attaque contre les toutes les femmes et c’est une faute.

Nous attendons donc un retrait clair et assumé de cette mesure inégalitaire

 

Pénalisation des agentes de la fonction publique pendant la grossesse P1

Pénalisation des agentes de la fonction publique pendant la grossesse P2

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unsa csam

Réduction drastique des effectifs, rémunérations en berne, prestations d’action sociale reconduites… Que de mauvaises nouvelles pour les agents de notre Pôle ministériel.

Découvrez l’interpellation des Ministres par vos élus UNSA lors du CSAM budgétaire du 4 juin 2025.

 

À noter que les ministres nous donnent rendez-vous en juillet pour nous communiquer les arbitrages.

 

 Bandeau UNSA DD

 

 

Comité social d’Administration Ministériel du 4 juin 2025 Présentation de la Loi de Finances 2025

Déclaration liminaire de l’UNSA Développement Durable

 

 

Mesdames et messieurs les Ministres,

Mesdames et messieurs les membres du comité,

 

Comme nous avons pu en faire part à vos directeurs de cabinet qui nous ont reçus il y a maintenant une quinzaine de jours, l’UNSA déplore qu’il ait fallu en arriver au boycott du CSAM pour obtenir cette présentation de la Loi de finances 2025 et de ses impacts sur notre Pôle ministériel.

Beaucoup d’informations circulent dans les médias : revue des missions, suppression d’emplois publics, baisse d’effectifs, abandon de missions, fusion ou suppression d’1/3 des agences et opérateurs de l’État d’ici la fin de l’année…

Faute d’informations officielles émanant de nos ministres, cela crée un climat très anxiogène pour les agents du pôle ministériel qui craignent un recul et une dégradation du service public, qui ont peur pour leur statut et leur emploi, qui sont inquiets quant à leur rémunération et leurs conditions de travail.

Attention à la rumeur et aux incertitudes qui sont déstabilisatrices et démotivantes pour les agents !

 

Réduction drastique des effectifs

Au premier rang des mauvaises nouvelles de cette LFI 2025, les effectifs, avec une réduction drastique de -561 ETP, alors que vous nous en annonciez -41 il y a moins d’un an !

 - 322 ETP pour le programme 217 « Conduite et pilotage des politiques de l’écologie, du développement et de la mobilités durables »

*Premiers postes touchés, les services supports, qui au fil des réorganisations et réductionsd’effectifs, sont déjà exsangues.

*Puis, les personnels œuvrant pour les politiques du programme urbanisme, territoires etaménagement de l’habitat.

 

Il est vrai que le courriel de Monsieur REBSAMEN adressé aux agents le 14 mai dernier, « 12 points clés pour simplifier l’action des collectivités », ne présageait rien de bon, jugeant le contrôle de légalité « trop tatillon», et s’asseyant sur la réglementation en matière d’urbanisme puisqu’il annonçait que « les projets de création de logements seront autorisés même s’ils ne relèvent pas de la destination prévue par le PLU ».

*Et, plus surprenant, les personnels œuvrant pour les politiques de transport.

 - 364 ETP pour les opérateurs qui ne sont pas épargnés, avec des baisses marquées à VNF (38 ETPT), au Cérema (-25) et à l’OFB (-25).

Ces baisses d’effectif présentent un risque réel sur la capacité de notre Pôle ministériel à exercer les missions régaliennes et environnementales.

Pour l’UNSA, cette politique dogmatique de baisse des effectifs, décorrélée de la réalité du terrain, est inacceptable ! Il en va de la réalisation de nos missions et de la qualité de vie au travail des agents.

C’est pourquoi l’UNSA revendique un moratoire sur les baisses d’effectifs.

 

Quid des rémunérations ?

Concernant la masse salariale et les mesures catégorielles, la hausse de la masse salariale ne signifie pas amélioration des conditions de travail.

Les mesures catégorielles restent marginales au regard des efforts demandés.

Aucune référence à une indispensable hausse de la valeur du point d’indice, peu de références à une indispensable revalorisation des régimes indemnitaires dans un contexte toujours marqué par l’inflation.

La revalorisation des salaires, dont le traitement indiciaire, est pourtant une priorité absolue, alors que la Garantie individuelle du Pouvoir d’Achat a été supprimée, pourtant seul mécanisme existant de compensation de l’inflation.

Comment entendez-vous répondre à la préoccupation majeure des agents, leur pouvoir d’achat, en dehors de quelques annonces de revalorisation très spécifiques ?

Que comptez-vous faire pour améliorer les carrières de vos agents ?

Pour l’UNSA Développement Durable, l’attractivité de nos ministères passe avant tout par une meilleure reconnaissance des compétences et de l’engagement des agents ainsi que par l’amélioration des rémunérations et des conditions de travail.

L’UNSA vous demande un engagement pluriannuel sur l’action sociale et la formation, y compris pour accompagner les réformes et les transitions de carrière.

 

Les prestations sociales

Plusieurs budgets d’action sociale ont été reconduits à l’identique, c’est bien, mais ça reste préoccupant dans un contexte où l’inflation conduit à ce qu’un simple maintien des montants ne permette pas toujours le maintien des prestations. C’est le cas de la restauration collective ou des évènements de cohésion ou de fête comme les arbres de noël. D’ailleurs, l’UNSA considère qu’il devient urgent de revaloriser la prestation de l’arbre de Noël de 40 à 50 € par enfant.

D’autres sujets préoccupent grandement les agents de nos ministères : la réforme des retraites dont l’UNSA demande l’abrogation, le développement de l’Intelligence artificielle, la baisse de rémunération pendant le congé de maladie ordinaire. Attention à la mise en œuvre de cette mesure décalée dans le temps et donc aux retenues cumulées qui attendent les agents les plus fragiles !

L’UNSA demande le rétablissement de la rémunération à 100 % en cas de congé maladie.

Pour conclure, l’UNSA revendique un dialogue social renforcé en amont des arbitrages budgétaires et une traçabilité entre la Loi de Finances et l’exécution réelle des crédits, avec mise en place de comités de suivi.

 

 

DGAC / Budget Annexe Contrôle et Exploitation Aériens

L’UNSA Aviation civile, qui a fait de la question des effectifs une priorité absolue, se félicite de la hausse annoncée du schéma d’emplois de la DGAC pour 2025 de +122 ETP. Celle-ci permettra de commencer à anticiper le recrutement des ICNA nécessaire pour compenser la vague de départs à la retraite qui commencera à la fin de la décennie, sans pour autant que cette anticipation soit supportée par les autres corps de la DGAC. Elle regrette néanmoins que cette hausse masque des baisses pour certains corps, dont les TSEEAC à nouveau, au regard des missions qui leurs sont confiées.

Concernant la masse salariale, l’UNSA a interpelé le Ministre suite aux annonces faites en CSA DSNA sur l’impossibilité pour la DGAC de payer aux agents la totalité des contraintes organisationnelles de cet été, sur l’année 2025.

Les lois de finances ne sont pas des pyramides de Ponzi et la DGAC ne doit pas imposer à ses agents de vivre à crédit. L’UNSA a demandé au Ministre de faire rectifier soit le montant de la masse salariale, soit le niveau de contraintes imposé aux agents

 

La délégation UNSA vous remercie de votre attention

 

 

Plaquette Loi de Finances 2025

 

 

 

 

 

 

 

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Chèques VacancesLa prestation chèques-vacances, mise en œuvre dans le cadre de l'action sociale, interministérielle (ASI), est une aide aux loisirs et aux vacances.

L'UNSA Fonction Publique est attachée à cette prestation. Elle revendique une politique forte pour conforter cette prestation.

 

Les chèques-vacances pour les agents de l'État

Le principe de cette prestation est simple : une épargne constituée pendant 4 à 12 mois, qui est bonifiée par l'État d'un taux de 10 à 30 % suivant le revenu fiscal  de référence (RFR) de l'agent. Ce taux s'élève à 35 % pour les agents de moins de 30 ans. Les agents en situation de handicap bénéficient d’une majoration à hauteur de 30 % de la bonification versée par l’État.

L'accès à cette prestation est soumis à condition de ressources, suivant le RFR du foyer fiscal de l'agent et le nombre de parts de ce foyer.

Tous les agents actifs (fonctionnaires, contractuels, ouvriers de l'État, apprentis) peuvent prétendre à cette prestation. Ceux exerçant en établissement public le peuvent si leur établissement d'exercice adhère à cette prestation de l'ASI.

Un simulateur d'éligibilité à cette prestation est disponible ici. Il permet également de connaître, suivant le niveau d'épargne et la durée prévisionnelle du plan, le montant de la bonification.

Les agents retraités, sous couvert d'économies budgétaires, ont été exclus de cette prestation depuis le 1er octobre 2023. L'UNSA Fonction Publique s'est opposée à cette mesure. Elle demande que les retraités puissent à nouveau accéder à cette prestation.

 

Une prestation en recul

Depuis deux ans, cette prestation marque le pas. Le nombre d'ouvertures de plans en 2024 est en recul de 40 000 par rapport à 2022 (soit -37 %), passant à 77 111. Le nombre de plans débloqués en 2024 est en recul de 30 000 par rapport à 2022 (soit -27%), s'établissant à 83 275.

L'éviction des retraités ne peut à lui seul expliquer cette baisse. La diminution de la capacité d’épargne des agents de l’État aux plus faibles traitements en est une raison, la non revalorisation annuelle des barèmes d'accès en est une seconde. Le déficit de communication de l'administration accentue cette tendance.

 

Ce que dit l'UNSA Fonction Publique

Pour l'UNSA Fonction Publique, cette prestation permet de financer le budget vacances, culture, loisirs et un large éventail d'activités culturelles et de loisirs. Plus de 120 000 prestataires ou enseignes du tourisme, du sport ou de la culture l'acceptent soit dans le format papier, soit dans le format dématérialisé.

 

L'UNSA Fonction Publique revendique :

  • le relèvement annuel des plafonds d’accès, basés sur le revenu fiscal de référence, en revalorisant ceux-ci sur l’inflation , comme cela est fait pour les tranches d’imposition
  • la possibilité d'une épargne réduite à deux mois pour les personnels les plus fragiles,
  • la possibilité de cumuler chèques-vacances dématérialisés et chèques-vacances papiers,
  • des campagnes de communication ciblées de proximité.

 

 

En savoir plus :

 

 Déclaration UNSA FP

 

 

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